Présentation de dame Yukina ^^

Nom : Lee

Prénom : Yukina

Surnom : Yuki- chan (très déconseillée, c'était celui qu'emploiyait sa mère)

Age et/ou date de naissance :Elle a actuellement seize ans.

Niveau scolaire/profession : Etudiante

Niveau social : elle est en bonne posture, plutôt aisée même car son père est mort depuis peu lui aussi . . .

Statut : Célibataire, oui.

Tendances : Cela m'est égal.

Pourquoi êtes-vous venu(e) à l'internat ? : J'éspérais pouvoir trouver le repos et me remettre au chant et à la musique . . .Je l'éspérais . . .

Aspect physique :
Jeune fille plutôt mignone dans son genre, dégageant un sentiment d'insolence. Elle fait à peu près un mètre cinquante cinq, et même si elle est plutôt petite, on peut distinguerà travers chaque traits de son visage, une maturité incomparable.Sa démarche est calme et posée. Une pointe de philosophie est toujours cachée dans sa façon de s'habiller, un petit clin d'oeil... Sa morphologie est squelettique, sa charmante alure gothique,et elle possède toujours un crusifix sur elle. On n'a pas souvent l'habitude de la voir énervée, mais lorsque la colère l'envahit, mieux vaut ne pas se trouver porche d'elle. . .Mais c'est un conseil, rien de plus, àprès tout, ce choix est votre.

Dans la famille : père fantôme. . .

Caractère : Etant donnée que son enfance n'a pas été facile jusqu'à présent, elle est très mature car elle connait les difficultés de la vie, mais comme elle n'a rien apprit (ormis le piano l'orgue et la peinture), Yukina fait très gamine, elle a un peu du s'élever toute seule si je puis dire.

Votre personnage s'habille : C'est une personne qui n'aime pas être comparée au styles ou encre à une autre personne, mais il est vrai que son allure sombre et funèbres en dit long sur la manière dont elle s'habille.

Votre personnage aime :Peindre, jouer du piano ou de l'orgue

Votre personnage déteste : Les filles niaises où ceux qui lui adressent la paroles d'une façon méprisable . En fait, s'approcher d'elle est déjà chose qu'elle n'apprécie pas. (Oui, oui, Cas social XD)


Son passé jusqu'à aujourd'hui : Par un soir d'hiver de 1990, alors que la brise froide et fraiche se sème à tout va, Yukin voit le jour à exactement 00h24. LA petite grandit au fil des jours, heureuse, très sereine et "pure". Sa mère, Linda Walk était d'origine Anglaise et son père, Daisuke Dashizu était japonais. L'enfance de Yukina est envieuse, douce et régulière. Jusqu'à 3 ans, sa vie est merveilleuse et elle éprouve une passion inée pour la peinture et la musique, plus précisément le piano. Tout s'arrête la veille de son quatrième aniversaire, en fin d'après midi, juste avant qu'elle ne rentre de son cours d'arts plastique particulier. Sa mère, seule chez eux, se fait licencié et commence donc, à être violent avec la fillette. Cette dernière, ayant franchit le seuil de son habitat, ce seuil désormais taché d'un sang devenu marron par les coups de fouets les plus violents, chaque soir éxécutés, sous l'indifférence même d'un père ivrogne, depuis cette violence sans fin. Daisuke, pourtant si droit et stricte, décide d'éduquer sa fille comme si de rien n'était et continue de négocier les prix des cours de sa projéniture. Ces enseignements sont désormais les seules vonlontés de la jeunes demoiselle, ses seules raisons de vivres. A partir de là, l'on découvre que Yukina est incroyablement talentueuse, et qu'elle pourra plus que certainement réussir sa vie soit dans l'art, soit dans le chant et la musique. Malgré cette agréable nouvelle, Yukina ne parvient pas à améliorer ses relations parentales qui commencent à être tendues et qui finissent d'ailleurs par aboutir par un divorce chocant .
Son père tente tant bien que mal d'obtenir la garde de sa fille, mais en vain. La mère est donc la responsable légale, et continue de faire endurer des choses abominables à sa fille, jusqu'à ses 10 ans. ET cette dernière fugue sans prévenir personne, ormis une. La seule personne à part son père à lui être chère, Setsuna : sa cousine paternelle, la seule enfant avec qui yukina s'était parfaitement entendue.

A partir de là, plus rien. Yukina a tout oublié. Sauf Deux choses: Sa cousine, et son accident.

Sa cousine dont elle n'a plus eu de nouvelles depuis sa fuite. Même pas un coup de fil ou encore un signe de vie. TOut le reste est donc effacé par cet accident aussi horrible que traumatisant. Le genre d'évènements où vous avez l'impression qu'on vous ôte la vie. . .

En fait, ce moment dont Yukina se souvient et très flou et détaché, elle ne se rappelle que d'une pièce toute blanche, un hopital peut être. Elle s'endort, son ourson pookie sous le bras, comme nombre de petite filles le font tout les soirs, par habitude. Et puis, un chant d'oiseau, et . . .Un cri.
Un cri tranchant, effrayant et étranglé. La voix de sa mère. Terrorisée et sentant un frisson particulièrment fiévreux lui parcourir le dos, Yukina se lève, réveillée par cet inquiétante alarme. Elle ouvre sa porte et aperçoit une immense et infinie flaque sang, qui envahit ses petis pieds. LA petite, écarquille de grands yeux et relève la tête. . . . Un cadavre . Celui d'une femme. Celui qui brise. Celui de sa méchante et définitivement défunte mère. La petite hurle à son tour. Et là, elle se met à courrir, s'arrachant poignée par poignée les cheveux, ceux - ci qu'elle commence à hair au plus porfond d'elle même. ELle se retrouve devant un large mirroir, on ne sait par que moyen, mais cette glace est l'arme la plus écoeurante dans de pareils circonstances. Yukina ne peut à présent s'empêcher de se détester, de se renier et finit par frapper de son poing si puissant pour une enfant, qu'ill éclate le reflet en des milliards de morceaux et débrits. De ce coup violent, le corps de Yukina s'afaiblit d'un seul coup, la privant ainsi de sport à tout jamais, et quelque éclats finissent même par priver la si pertubée et frêle fillette d'un sens qui lui était particulièrement utile: Sa vision . Après de longues années de tracas et de non voyance, on ne sait comment, mais cette chère Yukina a retrouver la vue et compte bien se remettre à s'en servir comme au bon vieux temps. SEulement, ce bon vieux temps n'est plus celui - ci . . .